VidéoTikTok de Bastien Fabre (@bastienfabre1) : « sans alcool la fête est plus folle #pourtoi #apero #sud #bonsvivants ». son original.

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\n\n\n sans alcool la fete est plus folle
Sansalcool, la fête est plus folle. Coca-Cola, leader international sur le marché des soft drinks, se lance dans une nouvelle aventure avec la mise sur le marché d'une bière sans alcool. Par
Life 02/05/2020 1036 Pour changer du virgin mojito, un classique des apéros du confinement, voici des mélanges surprenants avec des produits très simples! CONFINEMENT - Vous commencez à manquer d’imagination pour lutter contre l’ennui en ces temps de confinement? Vous vous demandez ce que vous pouvez bien faire pour embellir vos journées? Pourquoi ne pas s’adonner à la préparation de quelques cocktails en cuisine? Avec ces cocktails aucun risque d’accroître sa consommation d’alcool, ils en sont dépourvus! Ce qui n’est pas plus mal en ces temps de pandémie, même pour vos apéros virtuels. Ils ont été composés spécialement pour Le HuffPost par Julie Couder et Giovanni Allario, bartenders du Syndicat Cocktail Club, avec des produits du quotidien au menu de la betterave, de la pomme, de la fraise et de la noisette! Terre & Amour Le HuffPost Vous avez de la betterave et du café? Cette recette de cocktail sans alcool va vous plaire! Le HuffPost Ce mocktail surnommé “Terre & amour” repose essentiellement sur de la betterave. Pour pouvoir se lancer sur la préparation de ce breuvage, il faut donc faire au préalable du shrub de betterave. Recette du shrub betterave Les ingrédients 150g de betterave crue 12cl de vinaigre de cidre 1 cuillère à café de sel 1 cuillère à café de sucre Poivre noir 150g de betterave crue 12cl de vinaigre de cidre 1 cuillère à café de sel 1 cuillère à café de sucre Poivre noir La préparation Lavez, épluchez et ensuite coupez en dés vos betteraves. Vous devez les saupoudrer de sel environ 1 cuillère à café, mélanger et ensuite laisser reposer pendant une heure. Rincez vos betteraves pour les mettre par la suite dans un pot hermétique, stérilisé au préalable. Mettez du vinaigre, du sucre, du sel et du poivre dans une casserole puis portez à ébullition. Versez le liquide bien chaud sur les betteraves puis fermez le pot et laissez refroidir. Enfin, laissez reposer 24 heures avant utilisation. Recette du cocktail Les ingrédients 40ml de shrub de betterave 15ml de sirop de sucre 1 cuillère à café de café 10ml de tonic 40ml de shrub de betterave 15ml de sirop de sucre 1 cuillère à café de café 10ml de tonic La préparation Pour faire le mocktail, il faut utiliser le shrub de betterave. Par ailleurs, les petits pickles de betterave peuvent être parfaits pour l’apéro ! Mettez un grain de café au fond du shaker et écrasez-le. Puis versez le reste des éléments dans le shaker. Mélangez l’ensemble pendant quelques secondes avec de la glace. Filtrer dans un verre avec quelques glaçons et ajouter le tonic. Nuts & Co Le Syndicat Cocktail Club Si vous êtes comme Tic & tac en ces temps de confinement, tentez le "Nuts & Co". Le Syndicat Cocktail Club Afin de pouvoir savourer le “Nuts & Co”, il est essentiel de cuisiner d’abord de l’orgeat de noisettes. Recette de l’orgeat de noisettes La préparation Pour le faire maison, il faut mixer à l’eau de la poudre de noisettes durant votre préparation. Pour 100g de poudre de noisettes, il faudra 300ml d’eau. Commencez par toaster la poudre de noisettes à feu doux. Mixez l’eau et la poudre de noisettes 15 à 20 secondes puis filtrez à l’aide d’un filtre à café. Ajoutez la même quantité de sucre que le résultat. Il faut bien mélanger jusqu’à dissolution du sucre. Il est également possible, à la place de l’orgeat de noisettes, d’acheter directement du lait végétal et d’ajouter la même quantité en sucre. Si le lait est déjà sucré, rajouter petit à petit la moitié de la quantité en sucre. Recette du cocktail Les ingrédients 40ml d’orgeat de noisettes ou n’importe quel type de noix 25ml de citron 1/2 blanc d’œuf Chocolat 40ml d’orgeat de noisettes ou n’importe quel type de noix 25ml de citron 1/2 blanc d’œuf Chocolat La préparation Versez tous les éléments dans un blender avec deux ou trois glaçons. Mixez 15 à 20 secondes. Filtrez ensuite dans un verre. Enfin, rappez un peu de chocolat sur le dessus. Mamie Smith Le Syndicat Cocktail Club Une envie de pomme? Essayez la "Mamie Smith". Le Syndicat Cocktail Club Il vous reste quelques pommes dans votre cuisine? Utilisez-les pour en faire des mocktails! Toutefois, il faut préparer en premier lieu du sirop de pomme. Recette du sirop de pomme Les ingrédients Pomme Sucre Pomme Sucre La préparation Bien laver et couper une pomme en petits morceaux Mettez la même quantité en gramme de sucre que de pomme. Insérez le tout dans un sac de congélation puis veillez à bien mélanger. Retirez le maximum d’air du sac avec une paille et laissez reposer deux jours Il est conseillé de “malaxer” le sac de temps en temps pour aider à la dissolution. À la fin, il suffit de filtrer. Recette du cocktail Les ingrédients 40ml de sirop de pomme 20ml de jus de citron 4/5 feuilles de menthe Eau pétillante 40ml de sirop de pomme 20ml de jus de citron 4/5 feuilles de menthe Eau pétillante La préparation Versez tous les ingrédients sauf l’eau pétillante dans un verre rempli de glaçons. Frappez la menthe dans les mains avant de la mettre dans le verre afin de faire ressortir davantage son parfum. Mélangez le tout. Enfin, ajoutez de l’eau pétillante. Frozenlicious Le Syndicat Cocktail Club Une envie de fraises? La "Frozenlicious" devrait vous satisfaire durant le confinement. Le Syndicat Cocktail Club Vous avez une passion pour la fraise? La “Frozenlicious” devrait ravir vos papilles gustatives. Pour la préparer, il est essentiel de faire d’abord du sirop de sucre. Recette du sirop de sucre La préparation Mettez la même quantité de sucre que d’eau dans un récipient puis mélangez jusqu’à dissolution totale du sucre. Recette du cocktail Les ingrédients 70g de fraises congelées mettre les fraises 2/3 heures au congélateur avant de faire le cocktail 20ml de jus de citron 15ml de sirop de sucre 50ml d’eau 3/4 feuilles de basilic 70g de fraises congelées mettre les fraises 2/3 heures au congélateur avant de faire le cocktail 20ml de jus de citron 15ml de sirop de sucre 50ml d’eau 3/4 feuilles de basilic La préparation Versez tous les ingrédients dans un blender et mixez jusqu’à l’obtention d’une texture lisse. Versez le tout dans un verre. À voir également sur Le HuffPost Les nuggets de McDonald’s vous manquent? Voici la recette
Sansalcool, la fête n'est pas moins folle. Alors qu'une mort sur 20 est liée à l'alcool, il est important de rappeler que ce n'est pas
Mais pourquoi est-on convaincu que sans absorber quelques grammes d'éthanol, on passera une mauvaise soirée ? La réponse est simple. L'éthanol contenu dans le vin et dans les autres boissons alcoolisées procure un sentiment de bien être, tant psychologique que physique. L’absorption d’éthanol augmente la production d’épinéphrine, ou adrénaline, une hormone diminuant les inhibitions. Des chercheurs ont également montré que la prise d’éthanol augmente les niveaux d’endorphine et de dopamine dans les zones du cerveau qui codent le plaisir et participent à la prise de décision, le nucleus accumbens et le cortex orbitofrontal. L’endorphine apporte un effet analgésique et une sensation de bien-être, et la dopamine récompense et plaisir. On appelle d'ailleurs cette chose le circuit de récompense. Bref, si on boit c'est aussi pour les effets psychotropes de l'éthanol, un phénomène qui joue grandement dans l'addiction, attention donc! Et le sans alcool? Si vous voulez opter pour du sans alcool, mieux vaut privilégier les bières, bien mieux réussies que le vin sans éthanol, qui ressemble trop à un mauvais jus sucré. La première bière sans alcool, au sens de bière qui a été fabriquée classiquement et dont on a retiré l'éthanol, date de 2016. C'est la Jupiler 0,0 %. Il existait bien la Jupiler NA, qui était une fausse bière sans alcool commercialisée entre 2004 à 2017. Celle-ci n'était pas une bière dés-alcoolisée et contenait 0,5 % d'éthanol. Même si ce n'est pas beaucoup, ce n'est pas zéro, surtout si on en boit quelques unes sur la soirée. Dans les bières sans alcool un peu stylées, on trouve la Sportzot, qui est l'équivalent dé-salcoolisé de la Brugse Zot de la brasserie De Halve Maan à Bruges. Cette brasserie s'était fait remarquer mondialement lorsqu'elle a construit le premier pipeline à bière. Les locaux de brassage se trouvent dans la vieille ville de Bruges, mais faute de place, l'embouteillage se fait à l'extérieur. Afin de diminuer les allées et venues des camions citernes, on dénombrait pas moins de 500 trajets annuels, ils abîment les pavés qui font tout le charme de la bourgade, on a construit un gros tube long de 3000 mètres. Le bièroduc, comme on l'appelle, descend jusqu'à 30 mètres sous le trottoir. Ce pipeline achemine 4000 litres de bière par heure. S'il fonctionnait non-stop et toute l'année, cela donnerait 35 millions de litres de bières, soit 140 millions de bouteilles de Brugse Zot ! Un grand succès Les Belges sont de plus en plus friands de bières sans alcool. Les enseignes de la grande distribution annoncent des progressions de vente à deux chiffres. Dans l'absolu, le secteur reste cependant marginal entre 3 et 4 % du marché, mais les références abondent. On trouve jusqu'à 27 produits différents dans une enseigne Carrefour. Et donc faut-il boire pour faire la fête? En 2012, une expérience étonnante a été menée à l'Université de Leuven. lors d'une fête dans un cercle étudiant, de la bière sans alcool 0 % a été servie aux étudiants, à l'insu de leur plein gré. Ils ont fait la fête tout à fait normalement et ont été bien étonnés à la fin de la soirée quand on leur a appris que la bière ne contenait pas un gramme d'éthanol. On pourrait même parler d'effet placebo puisque certains étudiants se sont comportés avec tous les symptômes d'un certain état d'ivresse. Chaque semaine, Fabrizio Bucella nous livre ses pépites sur le monde du vin dans Vire Ici Bruxelles. N’hésitez pas à aller faire un tour sur le site de son école d’œnologie Inter Wine and Dine pour en savoir plus.

Lesrayons des supermarchés n’ont jamais été aussi remplis de boisson substitut comme la bière sans alcool par exemple qui est aujourd’hui la reine des boissons « sans » Ses ventes ont bondi de + 23,8 % en 2019 (source : IRI). Heineken ® en a même fait son fer de lance grâce à sa boisson phare : Heineken® 0.0. qui a doublé ses volumes en 2018 et confirme le

Après deux ans et demi d’absence le Weath­er Fes­ti­val mar­quait son grand retour same­di 27 avril. Dans une ver­sion à taille humaine et avec une propo­si­tion artis­tique moins focal­isée sur les super­stars de l’électro — que l’on voit déjà dans tous les gros rassem­ble­ments européens aux pro­gram­ma­tions monot­o­nes et sans risque. Un arrêté munic­i­pal de dernière minute a toute­fois lim­ité la vente d’alcool au sein de l’événement, faisant fuir ceux pour qui la qual­ité musi­cale n’était pas la préoc­cu­pa­tion pre­mière. Une édi­tion sobre donc, dans tous les sens du terme. Et c’était plutôt chouette. L’occasion pour nous de décou­vrir La Seine Musi­cale, nou­v­el espace ouvert il y a deux ans du côté de Boulogne Bil­lan­court et qui n’avait jusqu’à présent pas pro­posé d’événements noc­turnes de cette ampleur. Le bâti­ment ressem­ble à un gigan­tesque paque­bot posé sur l’Ile Seguin, un lieu bien con­nu des habitués du Weath­er puisque ayant accueil­li le clos­ing de l’édition 2014 avec l’incroyable per­for­mance de Three Chairs – Moody­man, Theo Par­rish et Mar­cel­lus Pittman. Il faut dire que le Man­i­feste » pub­lié quelques semaines en amont de l’événement nous avait bien alléchés. Quand tant de gros fes­ti­vals se con­tentent de book­er sem­piter­nelle­ment les 30 mêmes têtes d’affiches — pour qui le Djing sem­ble être devenu une forme de rente à base d’autosync plutôt qu’une affaire de pas­sion – le Weath­er se pro­pose lui de défrich­er » et de ramen­er des grands noms vrai­ment impliqués ». On dit oui, oui et mille fois oui. Ain­si le début de soirée est dédié à l’IDM et aux lives audio-visuels, des per­for­mances que l’on ne trou­vera jamais dans le genre d’événements préc­ités. Pre­mier à entr­er en scène l’allemand Carsten Nico­lai aka Alva Noto pour un live autour de son dernier album UNIEQAV. Celui-ci nous con­quit rapi­de­ment avec son IDM tan­tôt mus­clée, tan­tôt plus mélodique, tou­jours par­faite­ment ciselée, tan­dis que la salle prin­ci­pale de la Seine Musi­cale se rem­plit douce­ment. On est d’ailleurs impres­sion­nés par la topogra­phie des lieux, débar­rassés de leurs habituels gradins, avec la sen­sa­tion de se retrou­ver au cœur d’un immense vais­seau spa­tial. On remar­que aus­si d’emblée que les équipes du Weath­er ont mis le paquet sur la sonori­sa­tion, impec­ca­ble et promet­teuse pour la suite des événe­ments. Cet aspect science-fiction se pour­suit avec le live suiv­ant, celui de Lanark Arte­fax qui se déroule de l’autre côté de la salle. Caché der­rière un mono­lithe émergeant d’une brume arti­fi­cielle sur lequel vien­nent bien­tôt se pro­jeter des visuels futur­istes, le bri­tan­nique pro­pose une IDM plus con­tem­pla­tive et bar­rée, ponc­tuée de défla­gra­tions en mode infrabass­es qui vous pren­nent aux trippes. Décoiffant. Lanark Arte­fax ©Rémy Golinelli Sans alcool la fête est plus folle Après ces presque deux heures con­sacrées à l’électronique expéri­men­tale on cherche à se rafraîchir un peu avant de bas­culer en mode dance­floor. C’est là que l’on com­prend qu’il y a un sérieux prob­lème au niveau des bars. Ceux situés à l’intérieur du bâti­ment ont inter­dic­tion de ven­dre de l’alcool – y com­pris de la bière – et ceux à l’extérieur sont logique­ment pris d’assaut. Ren­seigne­ment pris, cela est dû à un arrêté munic­i­pal de dernière minute qui a pris les équipes du Weath­er de court. Pire, une inter­dic­tion totale de vente d’alcool est annon­cée entre deux heures et cinq heures du matin. Cette dernière fera fuir une par­tie des fes­ti­va­liers – les moins motivés – entre 1500 et 2000 selon Le Parisien, soit entre un quart et un tiers des per­son­nes présentes. On com­patit pour les organ­isa­teurs pour qui le préju­dice financier risque d’être impor­tant tout en se dis­ant égoïste­ment qu’on aura plus de place pour nous. Tan­dis que des jeunes gens très lookés se déchainent dans la Boil­er Room – avec entre autre OKO DJ, Park Hye Jin et Kosh – on prof­ite du set de Deena Abdel­wa­hed qui a décidem­ment un son très per­son­nel, que ce soit sur son album ou lors de ses DJ sets. Une tech­no éthérée aux influ­ences bass music, trib­ales, ori­en­tales et dub. Deena Abdel­wa­hed ©Rémy Golinelli Elle est suiv­ie par le bul­gare Kink dont on con­nait déjà les lives très énergiques et ludiques. Nav­iguant entre house et tech­no aux sonorités old-school il se déchaine der­rière les machines durant près de 2h30 – quel per­former ! On fait aus­si des allers-retours vers la salle du bas, qui avec ses piliers et ses baies vit­rées don­nant sur la Seine ressem­ble étrange­ment à Con­crete. On y décou­vre le live des français Pilotwings, très éclec­tique, abor­dant la house sous ses angles bass music, dub, break­beat voir italo-disco. On reste aus­si pour le back-to-back entre Octo Octa et Eris Drew pour une house qui retourne le dance­floor mais que l’on trou­ve un peu trop con­ven­tion­nelle – très influ­encée par les scènes anglaise et new-yorkaise. A moins que ce ne soit la fatigue qui se fasse déjà ressen­tir. Ou le manque de bière. Djrum refer­mera cet espace avec un break­beat acid assez énervé, lim­ite jun­gle. Du son qu’on entend que trop rarement et qui fait du bien. A l’étage supérieur dans la grande salle Daniel Avery déroule une tech­no futur­iste, men­tale et effi­cace qui satel­lise tout le monde. Avant de laiss­er la place au duo français Lux­or – Antigone et Shlo­mo – pour un live de tech­no frontale à 140 BPM. Lux­or ©Rémy Golinelli Il est déjà 7h du mat. L’heure pour nous d’abandonner les derniers danseurs à leur joyeux sort. L’heure aus­si de faire le bilan. Un Weath­er réus­sit à bien des égards – logis­tique, artis­tique – et dont on espère qu’il ne sera pas trop pénal­isé par ce triste imbroglio autour de la vente d’alcool. Car des fes­ti­vals de cette exi­gence qual­i­ta­tive, il n’y en a pas tous les jours à Paris. Vis­ité 2 462 fois abaca Sans alcool, la fête est plus folle ! La Suze Avec son goût doux amer, Suze est l'une des stars de l'apéro à la française. En utilisant les mêmes racines de gentiane sauvage, la marque $🤨 Pas si sûr pour moi qui ne bois pas. Je ne sais pas si je débloque, mais bon, je vous explique invitée à un anniversaire, très sympa 40 personnes, on danse, on s'éclate, p'tit strip-tease style chippendale, bon on admire les abdos, jusque là ça va. Le rhum faisant son effet, les mains deviennent baladeuses, la nana célibataire qui fête non anniv. embrasse tout le monde, roule un patin à une nana $🤨 , s'ensuit un Karaoké, et là plusieurs participants se mettent à balancer leurs verres par-dessus leurs têtes, inondant le carrelage et la canapé c'était dans un appart. Je ne sais pas ce que vous en pensez mais je suis sortie de là interloquée ? C'est une nouvelle tendance ou c'est moi qui suis has been ? $🤪 Pourse faire, la sécurité et la prévention sont essentielles, "une fête réussie c’est une fête sécurisée, cette année on attend entre 15 000 et 20 000 personnes". Sans alcool, la fête n’est pas plus folle. Mais parfois on n’a pas le choix, on doit s’en passer. Donc si vous êtes dans ce cas, avec une frustration de voir vos amis se faire des gin tonic ou des mojitos, on a pensé à vous avec 2 spiritueux sans alcool », créés par la société lyonnaise qui plus est Sober Spirits.
Cettesemaine, 220 policiers berlinois ont abusé de la fête alors qu'ils étaient à Hambourg pour apporter du renfort. A l'occasion de l'anniversaire de
hello +3304 67 90 12 60 CHAVIN - 2 BOULEVARD JEAN BOUIN - 34500 BEZIERS, FRANCE © 2015 PIERRE ZERO Sansalcool, la fête est plus folle ! La ceinture aussi est pas mal. Il y a 5 jours + 1- GruikMan En réponse à Mini-Cube Vermisseau. 2.54 cm Jéhovah. Il y a 5 jours + 0-le-long-brick Longbric. ça harach s'Ahmed ! Il y a 5 jours + 1-GruikMan En réponse à le-long-brick Vermisseau. Too Schuss!!!! Il y a 5 jours + 17-Kourath. Cette absence d'arbres est triste pour
S’amuser sans s’alcooliser est le pari lancé par le nouveau mouvement teetotalisme, une tendance à contre-courant qui bouscule les codes de la fête. Un teetotal est une personne qui ne boit pas d’alcool, autrement dit, un intrus au pays du vin qu’est la France. Tout du moins, il y a quelques années encore … Car à l’heure ou les risques inhérents à une consommation excessive d’alcool sont bien connus, et où le binge drinking chez les jeunes fait de plus en plus de ravages, s’élève silencieusement une tendance zéro alcool faisant écho à celle – bien implantée – du healthy. Exit les cocktails, bières, vin et autres apéritifs alcoolisés, auxquelles on préfère les boissons saines, mocktails, et autres vins sans alcool s’enivrer n’a plus la côte. On chasse les degrés et on garde la santé et la dignité ! Cette tendance nous vient de Suède, premier Pays à lancer le concept de Sober Party fête sans alcool, à Stockholm, une ville pourtant connue pour sa vie nocturne et sa festivité. A l’entrée de ces Sober, un contrôle éthylotest est obligatoire. Si il n’est pas négatif, on ne rentre pas ! Et l’ambiance est bien au rendez-vous de ces Clean party », preuve en est que l’alcool n’est pas un ingrédient indispensable à la fête. Ce concept s’est depuis exporté dans de nombreux pays, dont la France qui surfe sur cette tendance en développant les bars sans alcool ou dry-bars, et où tous les bars branchés ont désormais leur carte de Mocktails cocktail sans alcool. Les teetatols ne sont plus condamnés à boire un soda ou un jus de fruit à l’apéro! Parallèlement à ça, les vins et champagnes sans alcool se développent et le marché des bières sans alcool ne cesse de croître. Loin d’être moralisateur, ce concept peut aussi être adopté en dilettante pour apprécier une autre façon de faire la fête, sans souffrir des lendemains difficiles.
Sansalcool, la fête est plus folle Les fêtes de fin d’année sont proches, avec leur cortège de festivités et les nombreuses occasions de boire de l’alcool. Cette réalité se reflète dans les statistiques des accidents de la route: la proportion des accidents liés à l’alcool est particulièrement élevée autour de Noël et du Nouvel An. Sans alcool, la nuit suédoise reste chaude et pétillante Tendance A Stockholm, des soirées estampillées sobres» attirent les foules. Une révolution s’amorce Cela pouvait ressembler à un concept suicidaire. Le Suédois Marten Andersson vient d’inaugurer à Stockholm les soirées en boîte de nuit sans alcool. Baptisées sober, elles sont strictement réglementées. Avant d’entrer dans le club, les clients doivent souffler dans un éthylotest, avec une tolérance zéro. A l’intérieur ne sont servies que des boissons inoffensives – faux champagne ou cocktails de fruits.Binge drinking»,une vieille traditionLancée timidement en août, la formule est devenue, à la surprise générale, un grand succès. Certaines soirées réunissent jusqu’à 900 personnes, selon le journal The Local . Les tickets d’entrée s’écoulent plusieurs jours à l’avance. La Suède a une solide réputation d’alcoolisme festif, filles et garçons s’y adonnant à parts égales le week-end. Les vendredis et samedis sont des nuits d’ivresse où des foules titubantes se déversent dans les rues dès 18 binge drinking , cette biture express à la maison avant même de partir en virée, est une vieille tradition, d’ailleurs répandue dans tous les pays nordiques. En Finlande, selon une étude européenne, 27% des habitants se disent adeptes de cette pratique, et un jeune sur dix, âgé de 15 ou 16 ans, avoue se saouler chaque week-end. En Islande, comme l’explique le correspondant du Monde à Reykjavik, Gérard Lemarquis, les boîtes de nuit ont des dark rooms chambres noires où sont conduits les jeunes qui arrivent trop éméchés dans le club. Ils cuvent là, allongés sur des matelas, au milieu des vomissures, avant de pouvoir aller danser. En Norvège, la moitié des arrêts de travail d’une journée sont dus à des gueules de orgies à la prisede conscienceHarcèlement, braillements intempestifs, bagarres, danseurs s’écroulant sur la piste sont le cocktail habituel de ces soirées trop arrosées. Dès 22 heures, la fête est consommée, dans une ambiance de fin d’orgie romaine. La viande saoule se retrouve le lendemain matin sans se souvenir de ce qui s’est passé la veille. Une nouvelle adepte des soirées sober a ainsi expliqué à Slate qu’elle s’était réveillée au petit jour dans un lit étranger, avec un compagnon, sans savoir comment diable elle avait atterri là. De quoi avoir des envies d’abstinence, forcément. Mais des jeunes gens ont également expliqué à The Local qu’il est difficile de se lâcher sans s’être désinhibé par quelques Andersson, qui a avoué à la presse suédoise avoir été lui-même un buveur invétéré, espère changer les habitudes de ses compatriotes sans la lourdeur moraliste des ligues de tempérance et des campagnes contre l’alcoolisme. D’ailleurs, en Scandinavie, une prise de conscience s’amorce. Selon de récents travaux, l’ivresse collective serait plutôt en recul. Il n’en est pas de même dans le sud de l’Europe. En France, où l’alcoolisme et le binge drinking chez les jeunes deviennent un sujet d’alarme, des soirées sans alcool, baptisées clean parties, ont bien été tentées. Elles ont rencontré un succès mitigé, qu’on ne saurait qualifier de verre à moitié vide ou à moitié plein. Sans alcool, la fête est plus folle ! " (Champomy)-Boisson, Soda. Les slogans des marques. Slogans Boisson. Slogans Soda. Slogans en relation . Slogan Champomy" Pour fêter tout même n'importe quoi ! "Un slogan, une publicité, une marque. Voici les slogans de la marque que vous recherchez. Plus qu'une simple phrase, le slogan des publicités des marques leur
Publié le 13/02/2017 à 1756, Mis à jour le 22/04/2022 à 1857 Quoi de plus rafraîchissant qu'un cocktails de fruits à base de fruits et seulement de fruits ? Rien ! La preuve avec ces 5 recettes de cocktails sans alcool. Photo iStock Avis aux femmes enceintes, jeunes adolescents et autres réticents ou intolérants, voici 5 idées recettes de cocktails sans alcool fruités et colorés qui nous prouve qu’effectivement sans alcool, la fête est plus folle. Depuis 1997, Mister Cocktail nous le chante à tue-tête "sans alcool, la fête est plus folle". Et ce n'est pas totalement faux. Sans alcool, la fête est aussi plus bio, plus pétillante, plus fruitée, plus colorée et plus énergisante. Et ce n'est pas cette recette spéciale Saint-Valentin, richissime en vitamines et en bonne humeur qui nous fera dire le contraire. Sirop de cerises, pamplemousse, gingembre frais et jus de citron vert se mélangent harmonieusement dans ce "sirop fever", alors que jus de raisin, d'orange, de pêche, de citron, fraises fraiches et cannelle composent cette délicieuse sangria sans alcool, facile et rapide à réaliser. Et comment ne pas évoquer cette boisson au goût de soleil à base de pommes, de miel, d'aneth, de poires et de framboises ? Un cocktailde fruits qui ravira aussi bien les papilles des femmes enceintes, que celles des jeunes adolescents, des intolérants à l'alcool, des grands gourmands et des amoureux des fruits 5 idées cocktails à reproduire sans modération5 idées recettes de cocktails sans alcoolEn imagesVoir le diaporama05 photosVoir le diaporama05 photosLa rédaction vous conseille Le meilleur job du monde devenez goûteur de chocolatLes cadeaux food à se faire offrir pour la Saint-ValentinLes recettes signature des chefs étoilés
Sansalcool, la fête est aussi folle . Moment de convivialité par excellence, l’apéritif divise bien souvent les convives : ceux qui trinquent à l’alcool et les autres qui n’en
© DRLindsay Lohan et sa mère Dina !© DRL'innocente famille Lohan ... Mais ça c'était avant ! L'actrice qui sort tout juste de rehab a rejoint sa famille pour célébrer les 51 ans de sa mère. Et alors que cette dernière a été récemment arrêtée pour conduite en état d'ivresse, Dina Lohan a été privée d'alcool pour son anniversaire. Santé !La semaine dernière, Dina Lohan , la mère, était arrêtée pour conduite en état d'ivresse. Lorsqu'elle a soufflé dans le ballon, les policiers ont noté un taux d'alcoolémie équivalent à 0,2 grammes alors que la limite légale est fixée à 0,08 grammes dans l'Etat de New-York. Autant dire que madame avait bien bu et qu'elle va prochainement trinquer lors de son passage devant le juge le 24 septembre prochain. En tous cas, s'il en est une qui ne peut pas la juger, c'est bien Lindsay, sa fille. Connue pour sa carrière d'actrice mais surtout pour ses addictions, la jeune femme de 27 ans est sortie récemment de rehab. Et dans la famille, le père est aussi passé par la case alcool puisqu'il a lui aussi séjourné en cure de désintox. En tous cas, les Lohan ont compris qu'il fallait faire une pause question bouteille. En effet, pour les 51 ans de leur maman, Lindsay, Ali, Cody, et Michael Jr ont organisé une soirée sans alcool à l'ABC Kitchen à New-York. La matriarche a posté une photo d'elle et de Lindsay, son acolyte alcoolyte même de fille. Tout le monde est resté sobre et a siroté de délicieux sodas à la cerise tout en dégustant un savoureux gâteau d'anniversaire, sans rhum s'il vous à lire aussi PHOTO - Alcool à gogo et gros dégâts matériels, la folle soirée de Sophie Tapie qui tourne mal Sans alcool, la fête est plus folle ! En vidéoSur le même thème Ces stars dont on parle En voir plus
Sansalcool la fête est plus folle uzul. Fiction. détails. Note moyenne 4.3 Nombre de notes 1 Nombre de lectures 736. Commenter. Sans alcool la fête est plus folle uzul (ndla: défi sur le thème de l'anniversaire en usant des mots: vent, eau, fusion, dévotion, gâteau, chocolat, passion, sensualité, désir et sang) Un vent se lève amenant avec lui la brume. La nuit est tombée sur le Très répandue depuis longtemps dans des pays comme l’Espagne, la bière sans alcool a fait son come-back en France sous l’égide de Tourtel Twist, dès 2015. Depuis, les préposés au sans alcool se sont multipliés au rayon des bières et leurs ventes vont crescendo. L’optimisation des recettes, permettant d’obtenir véritablement 0,0° et un véritable goût de bière, n’est pas pour rien dans cette tendance. Même les pionniers comme 1664 n’ont pas hésité à revoir leur formule pour s’afficher véritablement sans alcool. Heineken qui a suivi son principal concurrent français a fait quelque peu évoluer son packaging pour se distinguer nettement de la version alcoolisée sans pour autant se départir de l’image de cette marque emblématique. Comme Heineken, pour sa déclinaison en sans alcool, Carlsberg a laissé tomber son vert emblématique pour la couleur bleue. Outre l’incontournable mention sur le devant de la canette l’accent est mis sur la nutrition avec la mention “Low Calorie“. En effet, cette bière danoise affiche seulement 50kcal par cannette, soit deux fois moins que la version alcoolisée ». Les bières de dégustation ne sont pas en reste. Après Leffe apparue l’an dernier en canette d’autres bières d’abbaye tentent leur chance. Affligem d’abord lancée en bouteille, se décline désormais en boîte. Quant à Grimbergen la marque de Kronenbourg n’existe pour l’heure qu’en emballage verre. A noté qu’en Belgique, Leffe a commencé à étendre sa gamme “sans“ en boîte avec une brune et une recette ruby. Quant aux bières artisanales françaises et autres craft beers internationales, le sans alcool est désormais un passage obligé de leur gamme. Plus souvent en bouteille qu’en boîte. Quelques exceptions toutefois comme l’IPA écossaise Brewdog Punk AF pour Alcohol Free.
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Sujet: Sans alcool la fête est plus folle ? Répondre. Nouveau sujet Liste des sujets. Actualiser. 1. Warvaine MP. 18 juin 2011 à 19:57:22. Folle = Accueil » Médecine » Addictions » Sans alcool la fête est plus folle ? Une websérie pour s’en convaincre 08 décembre 2014 © De plus en plus, lors de soirées, celui qui ne boit pas, c’est le loser » de la bande. Triste constat qui illustre à quel point la consommation excessive d’alcool s’est banalisée chez les jeunes. C’est pour y faire face que l’INPES diffuse une websérie montrant – avec humour – des techniques pour éviter de boire de l’alcool sans passer pour un ringard. Son nom, Esquive la tise ». Si les premières expérimentations d’alcool se font souvent dans un cadre familial et festif fêtes de famille, anniversaire, jour de l’an…, c’est au cours des années collège que l’abus d’alcool augmente fortement. Une tendance plus fréquente chez les garçons 19 % des élèves masculins de quatrième affirment avoir déjà été ivres au cours de leur vie, et 36 % pour ceux de troisième contre respectivement 15% et 32% pour les filles. Parce que la consommation d’alcool en soirée n’est pas sans risques, il est important de savoir résister à la tentation… et à la pression sociale » insiste l’Institut national de Prévention et d’Education pour la Santé INPES. Lequel a créé la première websérie dédiée à l’alcool. A destination des 14-18 ans, le programme s’appuie sur l’humour et le second degré. A chaque épisode, l’un des personnages principaux se voit proposer une boisson alcoolisée dont il n’a pas envie, et trouve une manière originale d’esquiver, sans se couper du plaisir de la fête, ni se désolidariser du groupe. L’idée n’est plus simplement, d’alerter, d’informer mais de débanaliser et de donner les moyens et la volonté d’agir » continue l’INPES. Pour en savoir plus et retrouver la websérie, rendez-vous sur le site Source INPES, décembre 2014 Ecrit par Vincent Roche – Edité par Emmanuel Ducreuzet Paf la question du jour.Vous préférez quoi vous? Les fêtes ou ont finis tous bourrés (comme chez les bretons), celle ou l'alcool rend "juste un peu" plus joyeux (mais est-ce possible? Comme
Sans alcool, la fête est plus folle ? Si vous faites partie de ceux qui n’en consomment pas ou plus, on vous a déniché une superbe expérience à tester ce week-end. Direction Drinks&Co à Saint-Lazare pour découvrir le premier bar sans alcool de la capitale et mettre vos papilles en émoi ! The Extraordinary Bar » un bar éphémère autour des spiritueux sans alcool Vous ne buvez pas d’alcool ? Ce n’est pas une raison pour vous priver de délicieux cocktails à siroter entre amis ! C’est tout l’objet de The Extraordinary Bar », un bar éphémère dévoilé par Drinks&Co à l’occasion du Dry January. Importée de Grande-Bretagne, cette tradition consiste à se passer d’alcool durant tout le mois de janvier… et plus si affinités ! Une façon de mettre en pratique les bonnes résolutions prises pour la nouvelle année et apprendre à mieux consommer. Situé rue St Lazare, le concept store s’est associé avec Lyre’s – marque australienne de spiritueux sans alcool la plus primée internationalement – pour imaginer The Extraordinary Bar », le premier bar sans alcool de la capitale ! Ce pop-up inédit, à découvrir jusqu’au dimanche 22 janvier, vous propose de vivre une expérience sensorielle autour de cocktails sans alcool aux saveurs étonnantes. Invitation au voyage Pour l’occasion, Lyre’s a imaginé une carte de cocktails festifs et audacieux. Parmi eux, des classiques revisités et des créations originales qui vous embarqueront à destination des Caraïbes, de l’Italie ou encore des États-Unis. Pensée comme un voyage gustatif, cette expérience est l’occasion de s’initier à l’art des mocktails et de défier les papilles des plus réfractaires. Le tout dans une atmosphère conviviale, qui invite au partage et à l’évasion ! The Extraordinary » Bar à Drinks&Co – Ouvert du 17 au 22 janvier 2022, de 18h à 22h – 106 bis rue Saint Lazare – 75008
ily a 11 ans Publicité HD - Mister Cocktail ("Sans alcool") 2011 Yann Suivre Spot publicitaire pour les boissons apéritifs sans alcool "Mister Cocktail". - "Sans alcool la fête est plus folle" - Vidéo enregistrée en HD en juin 2011 avec Windows-Media-Center. Signaler Actu CorporatePierre Zero fête ses 10 ans ! Une tournée mondiale d’événements est prévue pour célébrer l’anniversaire de Pierre Zéro, la marque iconique sans alcool de Chavin. En direct de Tokyo, une conférence de presse est organisée avec les principaux médias japonais pour célébrer et déguster la gamme, y compris sa NOUVELLE Signature Premium, nouvellement née dans la gamme Pierre Zéro. 10 ans dans la catégorie NOLO, une histoire à succès durable, une pénétration du marché dans 60 pays dans des endroits Top et branchés… plus qu’une marque, un must have » sur les cartes des vins ! Prochaine étape à Londres… Retour aux actualités
Levin sans alcool est une alternative pour arrêter de consommer de l’alcool. Ce type de boisson n’est pas totalement dépourvu d’alcool sachant la réglementation européenne autorise une teneur en alcool jusqu’à 7 %. Ce qui est encore important. En plus, le vin sans alcool est parfait pour les fêtes en famille ou pour les
Banlieue, Courbevoie, Nouveau restaurant 2021, terrasse, restaurant de viandes, fast food Chouette ! Un nouveau resto à Courbevoie ! Et en plus, leur spécialité, c'est la bidoche ! Miam ! J'espère que ce sera plus intéressant que le BeefCut, plus coupe-gorge que coupe-faim. Tomahawk, je viens en paix. Par Arnaud Morisse Voilà plus de 35 ans que je n'y avais pas mis les pieds. Mais voilà, je dois prendre soin de mon principal outil de travail mes chicots. C'est donc à l'occasion d'une rendez-vous chez le dentiste, que je décide de m'attabler avant dans une adresse de nourriture "rapide" qui vient d'ouvrir à Courbevoie, Tomahawk. Une promesse de belles bidoches ! Tomahawk restaurant Courbevoie On entre ici directement devant le comptoir et à droite, de magnifiques trains de côte en maturation. Le lieu, sans imaginé en pensant COVID a été pensé pour favoriser la vente à emporter, et ça a l'air de bien fonctionner, il y a la queue ! Que des hommes venus manger du gras avant de partir à la chasse vraisemblablement. En demandant une table je dénote. Mais bon. Me voilà installer au fond de cette très, très vaste salle un peu froide. Je ne sais pas si le serveur est majeur, en tout cas, quoiqu'un peu tendu, il met du sien pour présenter au mieux Tomahawk et sa carte, un poil complexe j'avoue, j'ai pas tout compris. Je n'ai même pas retenu les tarifs et leur site ne les indique pas non plus... aberrant, mais c'était pas trop cher... je crois. Car voilà, alléché par ces viandes de folie, je me fais une joie d'avance de me baffrer pour deux ! Et là, c'est le drame absolu... je cherche la carte des vins. Au moins un pichet de rouge qui tâche. Une bière même ! Mais en vain ! Ici, point d'alcool ! Pffffff.... Bon, bah, mon repas que j'attendais tant, n'a plus guère d'intérêt, car sans pif, aucun intérêt de prendre une belle viande. Soudain, la carte devient plus courte, d'autant qu'il est hors de question pour moi de prendre un "burger" horreur !* Gua Bao Brisket J'opte donc pour un gua bao au brisket l'une des spécialités de la maison. La présentation s'avère un chouïa ringarde avec cette feuille de bananier qui ne sert à rien, ces trois points de mayo et ces grands traits de sauce sirupeuse sur le dessus. Les bao n'ont pas un côté aérien de folie, mais ce tiennent bien tout de même. Et puis, le plus important dans tout, c'est le goût ! Et franchement, aucune finesse évidemment, mais un plein de réconfort, on s'en fout plein les doigts, on lèche, on suçote, et on replonge ! Alors pourquoi pas ! 12€. Pour accompagner cette entrée, une bonne eau du robinet, quel bonheur ! Jerk Chicken Place ensuite au Jerk Chicken 22€, un poulet fumé mariné et rôti très, très rôti rappelant en théorie la Jamaïque. Une demi-bête se trouve devant moi. ça sent bon. Il ne faut pas se formaliser sur la déco, ce n'est pas le lieu pour ça manifestement. En accompagnement un "domburi". En fait du riz avec des oignons frits. Le poulet n'est pas d'une grande qualité, il se dépiaute tout seul. ça me rappelle ces poulets fumés des supermarchés sauf que là, je l'espère du moins c'est fait sur place. La quantité est là, mon estomac se réjouit. Mon palais s'ennuie un brin. J'accompagne cet animal mort d'un succulent verre d'eau, histoire de le faire passer plus facilement. Mi-cuit praliné Pas grand chose à attendre des desserts ici... je prends tout de même le Mi-cuit praliné. Une déco vieillotte, mais ça on est habitué maintenant. Un pot de crème très liquide, et un peu de chantilly. C'est très sucré, très lourd, pas vraiment fou. Heureusement, j'accompagne ça d'une rasade d'eau ! L'addition chez Tomahawk n'assomme pas 46€. Par contre, ça peut faire cher pour du fast food. Mais le pire dans tout ça demeure ma frustration terrible de ne pas avoir pu dévorer l'une des belles viandes exposées à l'entrée, car sans vin, c'est... vain! Vouloir se séparer volontairement d'une partie de la clientèle me paraît toujours singulier dans un commerce surtout que rien n'oblige ceux qui ne prennent pas d'alcool à rester sobre.... Mais bon, au moins j'aurais essayé. *t'as vu, je fais bien le snob, hein ! Tomahawk 15 Rue de l'Abreuvoir 92400 Courbevoie gare de Courbevoie Fermé vendredi midi et dimanche midi tel 01 46 67 73 29 Les + _ vaste salle _ service qui met plein de bonne volonté _ un fast food un peu amélioré j'imagine, je ne mets pas les pieds souvent dans ce genre d'établissements _ des bidoches de compétition bien exposées... Les - _ ... mais aucun alcool pour les accompagner, bref... _ ambiance froide _ pas d'alcool pour oublier ça Plan d'accès au restaurant Tomahawk Courbevoie Partager cet article Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous
sansalcool la fête est plus folle.Motif de broderie machine sans alcool la fête est plus folle avec deux chopes de bière qui s'entrechoquent.cadre: 10 x 10 / 13 x 18 / 16 x 26 / 20 x 20 / 20 x 30 .Formats des fichiers dans votre téléchargement PES,CSD,EXP,HUS,SHV,VIP,XXX,DST,PCS,VP3,EMB,JEFTéléchargement immédiat

Si l’on vous dit “Je suis devenue abstinente”, vous pensez à quoi ? Au cul ? À l’alcool ? Aux deux ? On a écrit des tonnes d’articles sur le sexe et l’alcool, le sexe et la drogue, etc. Bizarrement, on enquête rarement sur “sexe et sobriété”. Pourtant, rien de plus sexy comme sujet. Petit apéro chez des voisins il y a quelques semaines. Un homme, trentenaire, que je ne connais pas, pose une bouteille de rhum sur la table basse. Je suis installée dans le canapé en face. “C’est qui l’alcoolique qui a ramené de la bière sans alcool ?” lance-t-il à la cantonade. Je réponds avec une petite voix que c’est moi. Il me regarde, interdit. Puis il me propose d’aller sur la terrasse pour fumer. Je décline l’invitation. “Non merci, j’ai aussi arrêté… Je ne bois pas, je ne fume pas, mais qu’est-ce que je peux sucer, ha ! ha !” Silence gêné. OK, méga boomeuse. Note pour plus tard ne plus jamais faire de référence en société à cette publicité mythique de 1992, incarnée par Dominique Lavanant pour les bonbons Suc des Vosges de La Vosgienne. Quand elle passait à la télévision, j’avais 12 ans et je comprenais sans comprendre le double sens du slogan. Vingt-huit ans plus tard, j’ai compris la blague, mais j’assume à moitié ma récente sobriété. Régulièrement, dans mon entourage, je balance des messages comme quoi je suis – toujours – une meuf cool, toujours une meuf qui parle de cul. Je suis abstinente mais pas chiante. D’ailleurs, si cette démarche, entamée il y a sept mois, m’a fait gagner cinq ans au niveau peau détox et botox et a sauvé ma santé mentale, elle n’a eu aucun impact sur ma sexualité. Enfin… à vrai dire, je n’en sais rien. Certes, cela n’a pas changé, ni au niveau du rythme ni au niveau du plaisir, le sexe avec mon compagnon notamment parce que je suis du matin, enfin plutôt du milieu d’aprèm, or dans le passé, je me suis rarement mis une race en pleine journée. En revanche, je suis sûre d’une chose j’ai embrassé et/ou couché la première fois avec 98 % de mes partenaires en ayant bu auparavant, ne serait-ce qu’un verre. L’exception étant l’homme avec qui je suis mariée depuis sept ans. Je n’envisage pas, avec le déconfinement, d’enchaîner orgie sur orgie. Mais c’est quand même sympatoche, la drague de bamboche… Mon abstinence va-t-elle me transformer en femme raisonnable, sage, contrôlée, “bien comme il faut” ? Vais-je perdre en folie douce ? Pourquoi associe-t-on autant alcool et sexe ? Quel impact l’arrêt de l’alcool a-t-il sur nos sexualités ? Loin de moi l’idée de faire du prosélytisme puritain. Mais j’ai besoin de savoir dans quelle galère – ou dans quel merveilleux avenir éroticosexuel – je me suis embarquée avec cette histoire de sobriété… Un couple s’embrasse à côté des escaliers au premier étage du Rodnya club, Moscou © Igor Baranchuk Déboires sexuels À l’âge adulte, on connaît tous et toutes l’effet de l’alcool sur le sexe. À petites doses, il a un rôle désinhibiteur oser séduire, se décomplexer et anxiolytique calmer ses peurs et ses angoisses. Vous savez, ces petites pensées dans la tête qui gâchent la fête “Je ne vais pas bander, si ?” “On voit grave ma cellulite dans cette position, non ?” etc. Nous avons tous et toutes des anecdotes drôles de sexe soûl, et les séries et films actuels regorgent de scènes comiques de drunk sex. Un soir, un ami, David, 40 ans, a beaucoup bu avec une fille avant de se retrouver au lit avec elle. Elle a commencé à lui faire une fellation. Mais celle-ci n’a pas duré longtemps elle a vomi tous ses gyozas. Sur son pénis. Il a dû rassurer la fille qui se sentait mal. Sur le coup, ce n’était pas fun, mais quand il le raconte, c’est vraiment hilarant. On s’étend moins, pour amuser la galerie, sur les conséquences négatives du trop d’alcool. Qu’elles soient physiques problèmes d’érection, sécheresse vaginale, anorgasmie et prises de risques sur la santé sexuelle la capote zappée, et sur le long terme, baisse de la libido. Ou psychologiques lendemains difficiles et gênés cf. le vieux gars qui sort un “Alors, heureuse ?” dans la campagne de pub “Tu t’es vu quand t’as bu ?” de 1991, black-out qui pose la question du consentement, ou encore risques d’addiction. En France, pays de l’apéro considéré comme patrimoine national, pays de l’art du vin comme art de vivre et de bien vivre, pays du champagne longtemps considéré comme un aphrodisiaque, pays de Gérard Depardieu qui boit avec génie, et de la Parisienne chic qui boit sans grossir, on continue à associer ivresse des sens à ivresse tout court, sexe, drogue et rock’n’roll. A lire aussi 2021 sera-t-elle l’année de la sobriété ? Une sobriété ennuyeuse ? D’après le sociologue Ludovic Gaussot, qui a enquêté auprès d’un panel d’étudiantes, dans l’imaginaire collectif, la fête est forcément plus belle quand il y a consommation d’alcool. La rencontre amoureuse aussi. Le fait de se soustraire à cette habitude pose parfois problème la fille sera vue comme “coincée”, “sainte-nitouche” et le garçon, celui qui ne trinque pas avec ses potes, perd en “virilité”. À ce niveau-là, nous sommes égauxales, toustes les abstinentes sont soupçonnées de ne pas savoir se lâcher. Fête à l’espace Artplay, tôt le matin, MoscouIgor Baranchuk, Moscou © Igor Baranchuk La différence se joue sur le cadre de la consommation. Le sociologue a constaté que beaucoup de jeunes filles, craignant l’image de la fille bourrée facile et craignant l’agression sexuelle par un inconnu, ont une consommation stratégique soit elles font en sorte de la gérer, soit elles boivent entre elles, soit en compagnie de garçons qu’elles connaissent. Ce qui, malheureusement, ne les protège pas c’est dans l’entre-soi qu’elles encourent le plus de risques, et c’est dans cet espace que le viol est le moins signalé à la police. Mais revenons-en aux représentations sociales. Ludovic Gaussot constate une évolution récente, une libération de la parole sur la modération et la sobriété “Le dry January ne fait plus rire, comme c’était le cas il y a encore deux ou trois ans. Et l’on constate de plus en plus la présence de boissons non alcoolisées en soirée. Quelque chose, lié à la santé publique mais aussi à une certaine éthique de vie, est en train de se produire aujourd’hui dans notre société.” Le troisième invité Claire Touzard ne dira pas le contraire. Elle a été très surprise par le succès de son livre Sans alcool Flammarion sorti en janvier dernier. À 38 ans, elle est sobre depuis un an et demi. “Je n’aime pas le mot abstinente, ça me fait penser à incontinente, et j’ai l’impression d’être rentrée dans les ordres”, dit-elle avec un grand sourire. Si les gens boivent avant ou pendant un rendez-vous Tinder, analyse-t-elle, c’est simplement parce que “la séduction, c’est vraiment effrayant”. Le sexe peut l’être aussi. Pendant des années, elle a pratiqué ce qu’elle appelle “la philosophie du pire”. Elle se retrouvait dans des situations où “le mec était pourri, le cul était nul, mais bon, au moins y avait l’alcool”. “Je n’aime pas le mot abstinente, ça me fait penser à incontinente, et j’ai l’impression d’être rentrée dans les ordres” Claire Touzard D’après Magali Croset-Calisto, psychologue, addictologue et sexologue, autrice de Moins de stress grâce au sexe Albin Michel, 2019, l’alcool est une troisième personne qui s’invite. “On peut quasiment parler de triolisme !” affirme-t-elle. Le problème, pour Claire Touzard comme pour beaucoup d’autres, c’est que cet invité brouille les choses “On n’est pas connecté à son désir ou au désir de l’autre, on est connecté avec le désir général de baiser.” Peu importe le gars/la meuf, pourvu qu’on ait l’ivresse. Le lendemain, elle devait affronter la mémoire défaillante “Qu’est-ce que j’ai fait hier soir ?” allant de pair avec une image de soi détériorée “Mais pourquoi j’ai fait ça hier soir ?”. A lire aussi L’arrêt de l’alcool, nouvel horizon littéraire pour autrices générationnelles Avec la sobriété, Claire constate qu’on ne peut plus se mentir “Nous sommes en face de quelqu’un qui doit vraiment nous plaire.” Et le sexe en est meilleur “Quand j’ai envie, j’en ai vraiment envie, il y a beaucoup plus de connivence avec l’autre, on est plus présent, plus connecté, plus en pleine possession de ses moyens.” Autre changement d’après elle, alors qu’alcoolisée chaque partie de jambes en l’air se ressemble et devient peu créative, le sexe sobre exige, lui, de l’imagination “Tu réinventes, ton cerveau galope.” Magali Croset-Calisto le confirme “Pour une question de survie, l’alcool pris en grande quantité met le cerveau en mode pilote automatique, et donc il ne pousse pas à la nouveauté.” Blanche, 29 ans, fait le même constat. “Quand je bois, je suis désinhibée, donc, pour une timide du sexe comme moi, c’est plus facile d’ouvrir la discussion. Après, quand ça passe au stade du barattage, c’est bien souvent du même niveau que deux bouts de bidoche qui se frottent.” C’est d’ailleurs notamment pour cela que l’alcool est souvent prohibé dans les soirées BDSM les pratiquantes veulent non seulement être totalement consentantes, mais ilelles veulent aussi profiter d’une expérience en pleine conscience. Fred, 51 ans, fréquente les sexclubs et les clubs BDSM “Vu les territoires du plaisir que je cherche à explorer, l’alcool n’a pas sa place. Le BDSM demande non pas une maîtrise totale mais une certaine vigilance et attention à l’autre. L’ivresse des sens vient de l’abandon, elle grandit dans la confiance, et je ne peux pas accorder ma confiance à un mec bourré.” A lire aussi “Instituteur le jour, je suis accro au sexe sous drogues le soir” Lisa, 35 ans, ne boit pratiquement jamais, “par goût”. Cela ne l’empêche pas dans les teufs d’être “celle qui bootyshake contre un mur”. Comme elle est assez extravertie et euphorique, beaucoup de gens sont persuadés qu’elle se drogue. Elle aussi parle avec engouement du sexe sobre. “Quand on est là, ultra-présents l’un à l’autre, nus, tels qu’on est, et que rien ne vient déformer ce qui a lieu, pour moi, c’est vraiment très cool. J’ai conscience que certaines personnes ont besoin de boire pour se détendre ou faire descendre la pression, mais j’avoue que j’aime bien ce côté ultra-authentique du sexe à jeun’. Quand on ne peut plus tellement faire semblant ou se planquer. Du coup, si je suis mal à l’aise, je le dis, je dis tout ce que je ressens vraiment, et ça désamorce directement le malaise. On peut même en rire.” Cela donne plutôt envie, non ? “J’ai conscience que certaines personnes ont besoin de boire pour se détendre ou faire descendre la pression, mais j’avoue que j’aime bien ce côté ultra-authentique du sexe à jeun’” Lise, 35 ans Pourtant, sur les applications qui accompagnent l’arrêt de l’alcool, il n’est pas indiqué dans les bénéfices “meilleur sexe” à côté de “meilleure mémoire”, “plus d’énergie”, “calories en moins”, “moins de risques de cancers”. Ce serait pourtant, j’en suis sûre, une carotte pour ceux et celles qui souffrent d’addiction et ont fait le choix de l’abstinence. Cela leur permettrait de répondre à cette image de cul-serrés, voire même d’ascètes. L’ivresse du plaisir Dans une récente interview pour Canal+, Thomas Vinterberg, le réalisateur de Drunk – l’histoire d’une bande d’amis décidant de boire une certaine quantité d’alcool chaque jour afin de tromper leur ennui et leur mélancolie –, dit en riant qu’il ne connaît aucun couple qui s’est rencontré à jeun. C’est faux – j’en connais au moins deux, dont le mien –, mais son raisonnement est assez commun il n’y a pas d’amour sans folie douce, sans légèreté, pas de folie douce sans alcool, donc pas d’amour sans alcool. A lire aussi “Drunk”, la belle promesse de Thomas Vinterberg prend l’eau Ce lien a toujours existé, comme le raconte l’historien anglais Mark Forsyth, auteur d’Une brève histoire de l’ivresse Du Sonneur, 2020. Les premiers écrits datant de la Mésopotamie antique parlent d’Inanna, la déesse de l’amour et du sexe, qui était alors connue pour “faire la tournée des tavernes”. Et en Égypte Antique, “on associait alcool, musique et sexe comme un trio inséparable. Le Festival de l’ivresse se terminait toujours par une orgie, en honneur à Hathor, la déesse de la bière.” Ça donne aussi envie, ce festival sans aucun geste barrière… Mince alors. Que faire ? Il ne s’agit pas de s’interdire ni d’interdire quoi que ce soit, et surtout pas les sources de plaisir. Mais comme on déconstruit, depuis peu, les stéréotypes, les injonctions, les rapports de domination dans nos sexualités, il ne serait pas totalement inutile de s’interroger sur notre rapport à l’alcool et à son image. Est-ce si subversif que cela de baiser bourrée ? Peut-on essayer de séduire et d’être séduite sans filtre, sans béquille, à poil ? On peut se poser la question collective de la santé publique et sexuelle, mais aussi la question individuelle de notre rapport à l’addiction et à la norme. La sobriété serait-elle the new punk ? Sexe, Tourtel et rock’n’roll. sexe

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